Présentation des ambassadeurs : Janis Kums

Le Colibri Frenchy est avant tout une aventure humaine et sportive. Nous avons décidé de vous présenter chacun de nos ambassadeurs. Aujourd'hui Janis, notre athlète Lettonien au grand coeur

Nous avons décidé de vous traduire son message 

1) Hello Janis, peut-tu nous parler de toi ? 

J'ai 34 ans certifié superviseur de travaux de construction et gestionnaire de projet de construction. Chaque jour, je travaille plus de 8 heures, car dans le domaine de la construction, rien ne se passe comme prévu. J'ai une famille avec 2 enfants (une fille de 5 ans et un garçon de presque 1 an). Comme je ris de moi-même - je suis un coureur amateur, qui travaille professionnellement pour pouvoir courir. Je suis sponsor pour moi-même, bien sûr je suis content de tous mes supporters autour, que je n'ai pas besoin de penser à l'équipement de course, à la nutrition, au physiothérapeute, etc.

Avant de passer au trail, j'étais vraiment passionné par la course d'orientation. Représenter l'équipe de Lettonie au championnat du monde, plusieurs championnats d'Europe et des événements de coupe du monde. Mes meilleurs résultats en course d'orientation ont été une 7e place au championnat d'Europe et une 10e place en Coupe du monde. Bien sûr, j'ai beaucoup de médailles aux championnats de Lettonie dont 8 en or. En raison du temps supplémentaire que nécessitent les entraînements d'orientation, car il faut trouver une forêt avec une carte où s'entraîner, j'ai décidé il y a quelques années de courir davantage sur les sentiers, car cet entraînement, je peux le faire quand je veux. Jusqu'à présent, j'ai 2 médailles de bronze de champions lettons en trail et quelques TOP10 dans certaines courses à l'étranger, comme en Finlande, en France, en Italie et en Estonie.

2) Comment as-tu connu Le Colibri Frenchy ?

Cette année, je courais la VVX (marathon) et lors de ma visite là-bas, j'ai rencontré l'entreprise. Lors de mon tour avec François Dhaene, Camille Bruyas, Dawa Sherpa, je me suis arrêté au stand du Colibri Frenchy. J'ai été présenté avec l'idéologie de l'entreprise et les projets d'avenir, etc. J'ai vraiment aimé les t-shirts et encore plus les chaussettes, alors j'ai acheté des vêtements à tester et à utiliser à l'entraînement.

3) Quels sont tes prochains challenges / courses ?

Cette saison il me reste 2 courses. Une course locale de trail running, où je me bats pour être sur le podium du classement général et une course UTMB INDEX en Lituanie, où je vais courir sur le parcours du marathon. Après cela, je prendrai 2-3 semaines de repos et commencerai ma préparation pour la saison prochaine. Jusqu'à présent, je sais que je vais courir la Maxi race Madeira 25 km dans le cadre de mon bloc d'entraînement à Madère et plus tard en février, je serai sur la ligne de départ pour Transgrancanaria, mais je n'ai pas encore choisi sur quel parcours je cours (probablement j'essaierai la verticale kilomètre et marathon).

4) Pourquoi soutenir Le Colibri Frenchy ?

J'aime la marque, j'aime les gens autour de la marque et le plus important, c'est que la marque est respectueuse de l'environnement et pense à l'avenir de notre planète. Les vêtements sont confortables, le design est génial, d'une manière ou d'une autre, la marque attire vraiment mon attention. Alors pourquoi pas?!

5) Raconte nous ton histoire avec le sport !

Je fais du sport depuis l'enfance. Comme à partir de 10 ans ou quelque chose comme ça. J'ai commencé par le sport d'orientation juste pour le plaisir de sortir avec mes amis, plus tard j'ai joué au football et à l'orientation en parallèle, mais à 16 ans j'avais besoin de décider ce que je ferais en priorité et j'ai choisi l'orientation. Dès l'âge de 16 ans, j'étais régulièrement dans l'équipe nationale des jeunes de Lettonie, mais ce n'est qu'à 20 ans que j'ai vraiment commencé à me concentrer sur le sport d'orientation, car je voulais entrer dans l'équipe pour le championnat du monde junior d'orientation, mais je ne me suis pas qualifié. J'avais donc besoin de réaliser mon rêve de courir en championnat du monde et je me suis entraîné très dur pendant quelques années, mais ce n'est qu'à 25 ans que j'étais assez bon et fort pour faire mes débuts en championnat du monde. Après 3 très bonnes années, je commençais à lutter contre les blessures et il m'a fallu tellement de temps et d'énergie pour me remettre en forme, qu'à la fin de 2016, j'ai décidé d'arrêter de me concentrer sur le sport d'orientation comme ma priorité, et avec le premier enfant il y avait de moins en moins de temps pour s'entraîner pour ça. La même année (2016), j'ai été sélectionné pour l'équipe lettone de trailrunnig et j'ai participé au championnat du monde au Portugal (85 km avec 5000 m de dénivelé positif). Ce fut une leçon très difficile pour moi et ce n'est qu'après cela que j'ai compris à quel point le trail était difficile et mentalement difficile, en particulier les parcours de plus de 40 km (ultras). Je me suis senti amoureux de la montagne et de la course sur les sentiers, que je continue à faire cela et que j'essaie d'obtenir des résultats également dans ce domaine. Comme il est vraiment difficile de s'entraîner en Lettonie en montée et en descente, car notre pente la plus élevée est d'environ 70 m, j'ai beaucoup à améliorer pour être compétitif sur le terrain international.